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Dans une interview diffusée le 26 novembre 2015 sur la chaîne télévisée du Hamas Al-Aqsa, Salah Al-Bardawil, un dirigeant du Hamas à Gaza, déclare que les juifs avaient « d’anciennes croyances bibliques, qui leur enjoignaient de tuer des enfants et de recueillir leur sang » pour le consommer dans le pain azyme de Pâque ». « Il s’agit de tuer un enfant palestinien pour recueillir son sang et le pétrir dans le pain consommé », précise-t-il.
Extraits :
Salah Al-Bardawil : Pourquoi l’ennemi sioniste exécute-t-il, par tous les moyens, des enfants palestiniens, en particulier des filles palestiniennes ? Je peux vous dire qu’il y a six raisons à cela, pas seulement une raison, mais six. La première raison pour laquelle des enfants palestiniens sont pris pour cibles relève de la foi. L’entité sioniste adhère à des croyances bibliques erronées, plus encore aujourd’hui, où nous sommes témoins d’« extrémisme ». Mais cette situation, typiquement juive, s’accorde avec l’histoire et la foi biblique sioniste. C’est manifeste dans le Coran, qui cite les juifs disant : « Tuez les fils de ceux qui ont cru » [Coran 40, 25].
Ainsi, ils adhèrent à un principe de foi qu’ils doivent appliquer, et tuent les fils des croyants. Pourquoi ne pas tuer les croyants ? Pourquoi tuer leurs fils ? Le meurtre de fils de croyants – ou, plus précisément, le meurtre d’enfants palestiniens – tient du fait que les enfants sont plus faibles et donc plus faciles à tuer que les adultes. Il s’agit d’un ennemi lâche, qui craint les représailles, et qui vise donc les plus faibles, atteignant toujours son objectif de réduire le nombre de Palestiniens. […]
En outre, ils ont des croyances qu’ils tentent de cacher au monde. Je fais allusion aux anciennes croyances bibliques, qui commandent [aux juifs] de tuer des enfants et de recueillir leur sang, afin de le pétrir dans le pain consommé à la Pâque. On parle de tuer un enfant palestinien pour recueillir son sang, et de le pétrir dans le pain qu’ils mangent. Aujourd’hui, ils essaient de dire que cela n’a jamais eu lieu, que c’était une blague ou un mensonge, mais ce sont des faits historiques. Quiconque lit leur histoire les retrouvera. […]
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