Joe Feingold a accompagné sa mère, chanteuse, à Varsovie quand il était enfant, et elle mourut à Treblinka. Après la guerre, il a acheté un violon, a émigré aux Etats Unis, et depuis joue en sa mémoire. Il y a un an, à l’âge de 92 ans, il a donné son violon à un élève latino brillant d’une école d’un quartier défavorisé de New York, pour que la musique continue. Son histoire a été transformée en documentaire, qui est en lice pour les Oscars dimanche soir.
L’histoire commence avant la seconde guerre mondiale à Varsovie. Joe Feingold, architecte à New York, avait 10 ans à l’époque. Sa mère était une chanteuse amateure, qui comme toutes beaucoup de mères juives, l’a poussé à étudier le violon. “Ma mère se produisait de temps en temps à Varsovie, en chantant des chansons en polonais et en yiddish, et il m’arrivait de l’accompagner”, raconte-t-il.
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