Dans une chronique parue le 4 février 2020 sous le titre « Est-ce notre job de protéger les terroristes djihadistes ? », suite à l’échange de tirs du 3 février entre forces syriennes et turques à Idlib qui a entraîné la mort d’au moins huit citoyens turcs, le journaliste turc Mehmet Yılmaz a critiqué la politique de son pays consistant à poster des soldats à Idlib : « Idlib, où nous avons envoyé nos soldats pour la défendre, est le dernier refuge des terroristes djihadistes armés… Mettre nos soldats sur la ligne de tir pour les protéger est bien plus qu’une erreur ! » [1]. Le 7 février, suite à l’échange, un site de veille politique turc a rapporté que cinq des douze points d’observation militaires de la Turquie à Idlib avaient été assiégés par l’armée syrienne, y compris celui de la ville de Saraqib [2].
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